Percy Jackson –Tome 1 : Le voleur de foudre.

Résumé :

Lorsqu'une simple partie de foot se change en bataille contre un gang de cannibales géants, Percy le demi-dieu a un terrible pressentiment. Comme le lui annonçaient ses étranges cauchemars, les frontières magiques qui protègent la Colonie des Sang-Mêlés sont empoisonnées. Pour sauver leur domaine, Percy et ses amis devront parcourir la mer des Monstres, qui porte bien son nom.

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Avis :

Bon, alors oui, en lisant ce premier tome on s’aperçoit vite que Percy a quelques similitudes.

Un garçon de 11 qui se découvre ne pas être un enfant lambda, et qui file droit dans un camp avec d’autres enfant particulier comme lui.

Mais c’est aussi tellement plus. Déjà la mythologie grec avec ses héros, ses dieux, et ses lieux, paf qu’on nous balourde au 21ème siècle. Alors autant dire que cet aspect du roman est juste totalement jouissif. Déjà, voir Hadès se plaindre qu’il a un royaume trop grand et qu’en plus ses employés veulent des augmentations, Arès habillé en motard…OH mon dieux, c’est juste tellement amusant, voir hilarant par moment.

Hey, faut bien que les Dieux évoluent et s’adaptent s’ils ne veulent pas passer pour de vieux croutons aux yeux de leurs gosses.

Ensuite, on a Percy, Annabeth et Grover. Alors eux, je les adore totalement. Ils forment un sacré bon trio, tout en humour, chamaillerie, conneries, courages, stupidité…bref, on va dire qu’ils vont sacrément en baver quand même. Ils ont chacun leurs rêves et espoirs et cette quête au final, va leurs permettre de grandir et des pousser tenter leurs chances. Qui ne tente rien n’a rien. Enfin pour Percy, il s’agit surtout de ne pas finir griller par un éclair.

Alors, ça reste de la jeunesse et ce n’est qu’un premier tome, mais c’est un livre qui se lit de ce fait vite, qui est facile à lire et qui n’est pas dénué d’un humour parfois piquant. C’est bourré d’action et autant le dire, on ne s’ennuie pas. Et pourtant, l’univers est déjà bien développé. L’auteur maitrise son sujet. Et ben tout ça fait que on ne peut qu’aimer….même nous les adultes et ça c’est franchement chouette.